Plus de 300 personnes se sont rassemblées devant le siège de Chronopost à Paris pour faire entendre les revendications des travailleurs sans papiers de l'entreprise. Pendant une heure la direction de Chronopost a nié que les travailleurs "sans-papiers" travaillent ou aient travaillé sur l'agence d'Alfortville, malgré les preuves évidentes (photos prises dans les locaux internes de l'agence, fiches de mission).
Le combat continue et les camarades ne lâchent rien !
Merci à Serge D'Ignazio, photographe professionnel, pour les illustrations en noir et blanc